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Depuis plusieurs années, la région Rhône-Alpes est confrontée à cette plante invasive à l’origine de fortes réactions allergiques qui se déclarent d’août à octobre.
Extrêmement résistante, la lutte contre l’ambroisie et les plantes similaires a été inscrite dans la Loi sur la modernisation du système de santé du 27/01/2016.
La plante pouvant atteindre 1,80 m s’adapte à tous les terrains.
Les outils pour la combattre : fauchage en bord de route, désherbage thermique, mécanique ou chimique.
L'efficacité des actions préventives et curatives dépend directement de la mobilisation et de la coopération d'une multitude d'acteurs publics et privés aussi bien au plan individuel que collectif.
Détruisez l’ambroisie avant qu’elle ne soit en fleurs
- par l’arrachage avec port de gant
- par un fauchage fin juillet et répété fin août
Pour la reconnaître
- consultez la plateforme interactive Internet « signalement-ambroisie.fr »
Prévision du risque allergique lié au pollen d’ambroisie
- consultez la plateforme « ambroise.air-rhonealpes.fr »
Pour sensibiliser les citoyens à l'importance de respirer un air de bonne qualité, telle est l'ambition de la journée nationale de la qualité de l'air. L'air que l'on respire à l'extérieur comme à l'intérieur des bâtiments, est un enjeu sanitaire, environnemental et économique majeur.
Le Réseau National de Surveillance Aérobiologique (RNSA) participe à la Journée Nationale de la Qualité de l'air : http://evenements.developpement-durable.gouv.fr/campagnes/evenement/7085.
Des pesticides utilisés pour le désherbage des parcs, jardins et voiries sont détectées dans les eaux de rivières en Rhône Alpes
Le risque de contamination des eaux est localement plus important en zones non agricoles qu’en zone agricoles en raison du transfert accéléré de substances vers les points d’eau dû aux surfaces imperméables.
Une démarche citoyenne : Chacun aussi agit dans son jardin
Adapter ses pratiques de jardinage en alternant les plantes cultivées d’une année sur l’autre , décaler la date de semis, maintenir l’aération de la végétation , pailler le sol, l’enrichir avec du compost « fait maison »
Choisir des espèces et variétés de plantes adaptées au jardin (sol, climat, exposition) tolérantes ou résistantes aux maladies et possédant des propriétés répulsives contre les insectes ravageurs
Choisir des méthodes alternatives aux pesticides en arrachant les herbes avec un outil approprié, dans son jardin et autour de sa maison.
Pratiquer la tonte haute. En savoir plus : www.jardiner-autrement.fr
Plus de la moitié des familles françaises possèdent un animal de compagnie. Les foyers français comptent notamment plus de 10 millions de chats et petits mammifères !
En particulier si vous vivez en appartement, la litière est un élément d’hygiène indispensable.
Traditionnellement constituée de paille, de tourbe ou de sable, elle se décline aujourd’hui dans de nombreux matériaux, plus performants ou mieux adaptés à chaque espèce et à chaque usage, tout en respectant les exigences économiques, sanitaires et environnementales.
MIEUX CONSOMME - Conseils d'achat
Optez de préférence pour des litières constituées de matériaux naturels et renouvelables (coques d’avoine, granulés de bois, de chanvre…).
Certaines marques de litières ont obtenu le label NF environnement.
Vous pouvez aussi utiliser de la litière « maison », faite de sciure ou de copeaux de bois, de terreau, de sable.
Conseils d'utilisation et d'entretien
Pour le nettoyage du contenant de la litière, utilisez du vinaigre blanc (ou vinaigre d’alcool), économique et écologique.
Pour limiter les odeurs, étalez tout au fond du contenant de litière du bicarbonate de soude.
Où Jeter : Dans quelle poubelle ?
Versez la litière de vos animaux domestiques dans un sac fermé et mettez-le avec les ordures ménagères.
Attention : même si la litière que vous utilisez est naturelle et biodégradable - et donc en principe compostable - elle constitue un risque de propagation des germes.
Les excréments de chats sont susceptibles de véhiculer le parasite de la toxoplasmose qui peut survivre jusqu’à un an à l'air libre.
C’est pourquoi il vaut mieux éviter de la mettre dans votre compost et dans la nature.
La déclaration de ruches est une obligation annuelle pour tout détenteur de colonies d’abeilles, dès la première ruche détenue.
Elle participe à :
- La gestion sanitaire des colonies d’abeilles,
- La connaissance de l’évolution du cheptel apicole,
- La mobilisation d’aides européennes pour la filière apicole française,
Elle doit être réalisée chaque année, entre le 1er septembre et le 31 décembre. Toutes les colonies sont à déclarer, qu’elles soient en ruches, en ruchettes ou ruchettes de fécondation.
Une procédure simplifiée de déclaration en ligne a été mise en place sur le site : http://mesdemarches.agriculture.gouv.fr/
En cas de besoin, contactez le service d’assistance aux déclarants :
- Mail : assistance.declaration.ruches@agriculture.gouv.fr
- Téléphone : 01 49 55 82 22
A NOTER : pour les nouveaux apiculteurs ou les apiculteurs souhaitant obtenir un récépissé de déclaration actualisé, il est possible de réaliser une déclaration hors période obligatoire (entre le 1er janvier et le 31 Août 2018. Cette démarche ne dispense cependant pas de la déclaration annuelle de ruches (à réaliser obligatoirement entre le 1er septembre et le 31 décembre 2018)